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jeudi 22 août 2013

Bienvenue

Bonjour et bienvenue sur ce blog !

Ce site regroupe de nombreux souvenirs d'enfance et d'adolescence le plus souvent réel à travers deux catégories :

- les souvenirs de fessées
- les souvenirs des couches (pour les énurétiques)

Il contient également quelques récits d'adulte concernant l'objet de nombreux fantasmes : la clinique érotique.

Si vous êtes prêt à vous lancer dans l'écriture, merci de me contacter ; une petite rémunération est envisageable. La plupart des histoires sont en accés gratuite mais certaine sont légèrement payant afin de subvenir au besoin du site.




L'école de puériculture

Je m'appelle Alice, j'ai 18 ans et récente bachelière, j'envisage de faire une école de puériculture à la rentrée de septembre. Après des recherches sur internent, j'adresse mon dossier à différentes écoles afin de maximiser mes chances d'intégrer l'une d'entre elles. Fin juillet, après plusieurs échecs du à des notes un peu justes, je reçois enfin une réponse positive d'une école privée située à côté de Limoges. L'école est loin de mon domicile mais propose un pensionnat pour les étudiantes qui le souhaitent, c'est la solution que je choisis, ne pouvant rentrer chez moi qu'à l'occasion des vacances. Un dossier complet d'inscription est joint à la réponse que je dois remplir et adresser à l'administration de l'école Jeanne d'Arc. Le dossier mentionne l'ensemble de l'état civil ainsi qu'un questionnaire de santé et, plus surprenant, demande l'ensemble de mes mensurations. Assez surprise par cette exigence, je passe un coup de fil à l'école pour plus de précisions. Le secrétariat me répond qu'il s'agit tout simplement de prévoir les tailles des blouses et autres vêtements nécessaires dans le cadre des travaux pratiques de l'école. Rassurée par cette réponse, je termine de remplir mon dossier et le poste, impatiente de découvrir dans quelques semaines mon nouvel univers et, pas fâchée de quitter la maison pour entreprendre mes études. Mes parents quant à eux sont rassurés par le fait que l'école Jeanne d'Arc est tenue par des sœurs, gage de sérieux à leurs yeux.

Peste de petite cousine !


Ma cousine me persuada de chiper des bonbons en échange de quoi je pourrais voir son jardin secret puisqu’elle avait vu le mien l’année précédente. Ma tante devant faire des courses et ne voulant surtout pas nous laisser seuls, nous emmena avec elle. Nous chahutions dans le magasin comme à l’accoutumée, tout en courant dans les rayons. Excédée par notre comportement, ma tante, nous tança sévèrement :

« Si vous cessez pas tous les deux, vous allez recevoir une fessée à derrière nu ici même dans ce magasin ! Compris ? » Ce qui nous calma de si tôt.
Au rayon des biscuits et friandises Maryann me désigna les proies de sa convoitise, un paquet de bonbons que je chipais, le cœur battant, pour les cacher aussitôt sous mon gilet. Je n’avais pas l’esprit tranquille, sachant à quelle mauvaise action je me livrais, mais je réussi toutefois à passer en caisse sans éveiller les soupçons de ma tante ni de la caissière. (Dans les années ‘70’, les systèmes antivol n’existaient pas). Faisant mine d’aider ma tante à remplir les courses dans des sacs en papier, je m’arrangeai pour cacher mon larcin au fond d’un sac. La caissière complimenta ma tante sur me serviabilité, à quoi ma tante lui répondit qu’il ne fallait pas ce fier aux apparences.